Mai 2017, le démarrage - Interview n°1
Franchise Directe : Pourquoi êtes-vous devenu concessionnaire et qu’est-ce qui vous a convaincu de choisir Stores de France ?
Frédéric Hugon : Pendant onze ans, j’ai été artisan en menuiserie et rénovation de fenêtre et j’avais envie de me développer. Pour moi, ce développement passait par l’installation dans un local bien placé afin de recevoir mes clients. Dès lors que j’ai identifié cet emplacement, je me suis intéressé aux réseaux de franchise pour investir dans une activité qui pourrait démarrer rapidement et bénéficier d’un accompagnement car sinon, en restant seul, on ne sait jamais par où commencer. J’ai regardé sur le web les sites dédiés aux franchises, j’ai envoyé des demandes de renseignements à plusieurs enseignes - y compris dans des secteurs complètement nouveaux pour moi comme la téléphonie. J’avais d’abord privilégié des enseignes de menuiserie pour rester dans mon domaine mais les investissements étaient beaucoup trop importants. Il faut des surfaces commerciales étendues et dans ma région, elles sont beaucoup trop chères. Ce qui m’a attiré vers les enseignes de stores, c’est que la concurrence est restreinte à deux ou trois réseaux. L’image de Stores de France m’a immédiatement séduit, avec la simplicité et la lisibilité de son logo qui évoque tout de suite aux gens une entreprise française. C’est un réseau expérimenté, avec une politique de développement maîtrisé, ce qui m’intéressait beaucoup par rapport à la concurrence qui dispose déjà de beaucoup de points de vente. C’est enthousiasmant d’entrer dans un réseau qui se construit.
Franchise Directe : Sur quels points précis le franchiseur vous a-t-il accompagné avant le démarrage ?
Frédéric Hugon : Nous avons commencé par plusieurs contacts téléphoniques au cours desquels nous avons échangé sur pas mal de sujets, échanges qui permettent au franchiseur de sonder les candidats qui se présentent. Evidemment, mon profil était très intéressant pour ce réseau et j’ai été invité à venir à Caen au siège de Stores de France par le fondateur, Jean-Marc Désert. Pendant deux jours, il m’a fait découvrir la prospection et le relationnel avec les clients, il m’a présenté le réseau et les autres franchisés. Nous avons aussi abordé toutes les questions financières et passé en revue les différentes clauses du contrat. C’est une phase où nous avons besoin d’être rassurés mutuellement. De mon côté, j’avais la capacité financière pour avancer immédiatement dans le projet.
Franchise Directe : Avez-vous sollicité des aides locales à la création d’entreprise et si oui lesquelles ?
Frédéric Hugon : Par le passé, j’ai bénéficié à deux reprises d’aides à la création d’entreprise, d’abord pour une entreprise individuelle et ensuite en tant qu’auto-entrepreneur. Fin 2015, quand j’ai recréé une société, j’ai moi-même modifié la dénomination sociale, grâce aux compétences que j’avais acquises au cours de mes expériences professionnelles et qui m’ont énormément aidé. Financièrement, j’avais vendu un bien immobilier et mis l’argent de côté qui m’a servi d’apport pour entrer dans le réseau, le fonds de roulement étant celui de mon activité précédente. Cela m’a permis de démarrer très vite ma concession Stores de France, en moins d’un mois !
Franchise Directe : En quoi la formation initiale délivrée par le franchiseur vous a-t-elle été utile ?
Frédéric Hugon : En fonction de mon parcours, le point fondamental sur lequel nous avons travaillé lors de la formation initiale était la découverte et l’apprentissage des outils marketing actuels, avec le rôle de web master, les campagnes Google, le budget à mettre en place, le phoning qui permet de démarcher des clients (particuliers, collectivités, etc…). Seul, je n’aurais jamais pu appréhender autant d’informations et de techniques qui boostent votre affaire. Dès la première semaine, j’ai obtenu des contacts grâce à ces actions de marketing.