Avant d’intégrer le réseau PIL’VITE, quelle a été votre expérience professionnelle ?

Romain Tary : A 15 ans, j’ai suivi en apprentissage une formation de boulanger. Elu meilleur apprenti d’Ile-de-France, j’ai quitté à regret le métier après 4 ans d'exercice, suite à des allergies à la farine. Possédant un tempérament hyperactif, j’ai pris le premier boulot venu dans une chaine de restauration rapide en tant que responsable de production en laboratoire. Grâce à ma hiérarchie qui a décelé des qualités relationnelles en moi, je me suis essayé à la vente et cela a très bien fonctionné. Cela m’a donné confiance et m’a conforté dans l’idée de me lancer dans la franchise. J’avais aussi l’exemple de mon père qui est conseil indépendant et surtout de ma sœur aînée qui a très bien réussi en tant que franchisée. Le jour de mes 20 ans, j’ai créé mon entreprise en intégrant un réseau de franchise et après 4 ans d’un excellent développement, j’ai revendu mon commerce pour changer de vie avec ma famille et déménager à Bordeaux qui offrait un potentiel business intéressant.

Pourquoi avoir choisi PIL’VITE ?

La rentabilité ! je cherchais à acquérir un fonds de commerce et j’ai eu l’opportunité de racheter à un franchisé PIL’VITE son point de vente à Sainte-Eulalie. Je n’étais pas horloger de métier aussi j’ai validé l’aspect minutieux ; j’aime bien apprendre sur le tas et je suis de nature à me motiver pour tout ce que j’entreprends et surtout j’aime rendre service à mes clients et me mettre en quatre pour eux, ce qui est au cœur du métier de PIL’VITE. J’ai démarré rapidement avec l’équipe en place, un horloger et une vendeuse.

Comment s’est déroulé votre développement ?

J’ai eu 54 % d’évolution sur mon CA ! Nous avons tous les outils à disposition et avec le flux de clients dans la galerie, nous pouvons répondre à toutes les demandes de petites réparations même minimes. Tout cela mis bout à bout a donné un excellent résultat mois après mois. Je fais tout pour que cela fonctionne et mon tarif est bien placé, ce qui joue également pour ne pas perdre un client. J’ajoute la stratégie de positionnement offrant la vente de montres de marque et un bon roulement dans la gestion des stocks. Je suis n° 2 au classement national des CA du réseau et je précise que mon magasin fait 16 m².

Quels sont les atouts de l’enseigne PIL’VITE ?

Tout d’abord, la proximité avec Hervé Maginier, dirigeant, et avec toute l’équipe PIL’VITE, c’est même un état d’esprit familial. L’équipe est réactive, très sympa et on travaille vraiment la main dans la main. C’est super agréable de savoir que même si on n’a pas de besoin particulier, on peut parler avec facilité. Les conseils de la part du franchiseur sont toujours à bon escient. Quand je me fais démarcher par des représentants, nous échangeons nos expériences avec la tête de réseau et cela permet de faire les bons choix. Si c’est pour un nouveau service, le recul d’expérience du franchiseur est hyper intéressant. Ensuite j’ajouterai que l’accompagnement de l’animateur réseau, Sébastien, est essentiel et je l’appelle souvent avant de prendre une décision. C’est un homme de terrain, disponible et qui est force de proposition ce qui permet d’effectuer des réajustements si nécessaire.

Avez-vous créé d’autres points de vente ?

Oui, c’est aussi l’intérêt de faire partie du réseau PIL’VITE. C’est le franchiseur qui cherche les emplacements les plus attractifs en fonction de critères spécifiques du modèle PIL’VITE. Hervé Maginier, m’a proposé plusieurs possibilités et je me suis orienté vers celle de Pessac, ma 2ème entité créée en 2019. Là encore l’accompagnement est réel. Aujourd’hui j’ai 32 ans et je suis toujours passionné d’entreprendre ! C’est pourquoi je viens de lancer en janvier 2021 mon 3ème point de vente à Bordeaux Mériadeck. Et entre ces deux périodes, mon 1er magasin à Sainte-Eulalie a été complètement modernisé, et la réalisation des travaux entrepris à l’été m’a tout de suite fait augmenter mon CA !